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DREAM BIG #1 : QUAND JE SERAIS GRANDE, JE SERAIS CAPITAINE

Quand je serais grande, je serais capitaine, non pas d’un bateau, mais de ma vie. Voilà la seule certitude que j’avais déjà toute petite. Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire. Et pour être franche jusqu’à il y a quelques mois je ne le savais toujours pas.
Alors naturellement j’ai voulu être astronaute comme Neil, avocate d’abord comme Peri puis comme Ally, barman comme les Coyotes Girls, pour enfin finir membre du GIGN ou alors Black Mamba dans kill Bill. Mais avec le recul, je m’aperçois que ce n’était pas tant les corps de métier que je voulais faire. Ce que j’aimais, c’était les personnalités et les péripéties de vie de mes personnages favoris, finement créer de A à Z par un scénariste hollywoodien et incarnés par des stars du tapis rouge.

Et puis est venu le jour où j’ai fêté mes 28 ans, ce fut le plus bel anniversaire de ma vie. J’ai littéralement cru pendant 3 jours, que mon cœur allait exploser de bonheur et d’amour c’est vous dire. Mais voilà, je me suis également rendu compte que j’approchais dangereusement de la ligne fatidique des 30 ans. Et là, un grand frisson a parcouru le corps. Je me suis alors demandé pourquoi. Et la réponse est venue aussi rapidement que la question, car la peur n’était pas tant de vieillir, mais plutôt de vieillir en n’ayant rien accompli. Sans avoir laissé de traces, de marques visibles de mon existence. C’est a ce stade qu’apparait le  » Dream Big ».

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Jusqu’à présent, je n’avais qu’un seul principe : ne jamais me réveiller pour faire un boulot que je n’aime pas. Alors j’ai eu la chance et les opportunités qui faisaient que cela ne m’est arrivé qu’un matin. Fidèle à moi-même, je ne suis jamais retourné à ce travail, en or, mais qui avait fait naître un certain mal-être, qui me hante parfois . Je suis free-lance depuis 7 ans maintenant et cela me convient assez bien. J’adore mon boulot. Il est cool, bien payé et je mets en place mon planning à ma guise. Ce qui me permet de partir 2 mois en vacances sans prévenir quiconque ou de passer du temps avec mes enfants et mon amoureux.

Je ne me suis jamais demandé ce que je voulais sincèrement faire, ce que j’aimais vraiment. Ce pour quoi j’étais douée et qui me donnerait des papillons dans le ventre et des étoiles dans les yeux. Comment travailler pour moi, pour mes rêves tout en aidant les autres à accomplir les leurs ?

Voilà des années que j’ai des rêves d’entrepreneuriat, mais que je n’ose pas. À 120 jours de mes 30 ans, j’ai envie de m’offrir le plus beau cadeau d’anniversaire. Quelque chose qui m’est propre, qui n’a pas de prix. Un rêve qui me dépasse, un rêve dément, un big dream comme on dit.
Monter ma boîte, me fixer un défi de taille et sortir de ma zone de confort.

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120 jours, qui je l’espère seront incroyables. Des montagnes russes émotionnelles, mais que voulez-vous, c’est cela rêver grand. Mais je me sens prête, a travailler dur pour ne pas dire d’arrache-pied, pour aller toucher les étoiles et pourquoi pas, décrocher la lune. Foncer en regardant droit devant et ne plus attendre le lendemain, le prochain lundi ou encore ces résolutions qui ne tiennent jamais bon.

3 mois et 28 jours à croire dur comme fer que tout est possible, à ne pas baisser les bras. À ne pas savoir comment gravir la montagne, mais à toujours foncer en regardant droit devant. Cela fait terriblement peur de réinventer sa vie, de prendre des risques et de faire le grand saut sans filet. Mais je pense que c’est ce qui fait de nous des personnes extraordinaires.

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Dream Big, c’est le nouveau fil rouge du blog.
Pendant 120 jours, je partagerais ici les grandes étapes et les coulisses de ce rêve un peu fou.

N’hésitez pas à partager vos expériences entrepreneuriales, vos rêves et vos bonnes ondes.

 Je vous embrasse fort.
Marlène.

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