LES PETITES CHOSES ORDINAIRES

ON THE ROAD #14 : TEN BELLES

Marlène — Mon, 06 Nov 2017 22:00:02 +0000

Hello vous et bon lundi,
Je sais on ne parle plus que de nourriture ces derniers temps, mais que voulez-vous je suis une vraie gourmande. Et puis j’adore arpenter Paris et découvrir les petits coffees shop qui poussent à chaque coin de rue. Aujourd’hui rendez-vous chez Ten Belles avec ma douce Danielle. Nous y avons flâné une bonne partie de notre après-midi entre fous rires, good mood et thé glacé.

On reconnait facilement ce coffee shop avec sa façade bleu et son bois blond sans oublier les tabouret bi-color qui nous invite a entrer. Si l’espace semble restreint en arrivant avec une douzaine de table sur deux étages, on se sent vite à son aise une fois installer. La décoration scandinave est assez simple et cosy. Et en tendant l’oreille on entend les clients parler anglais avec des accents différents venant des quatre coins du monde.

Comme tout bon coffre shop, on y trouve des banana bread ( pas aussi bon que le mien mais pas mal non plus), des cookies et de la limonade et autres délices homemade. Je ne bois toujours pas de café, mais pour les amoureux de ce breuvage, sachez qu’il est sélectionné avec soin par Thomas Lehoux, cofondateur de concours baristas à Paris.
Ici la carte est petite mais tout y est bon, quant à moi, j’ai pris un bun au poulet en plat et la même chose en dessert. Le bun était juste parfait, ce mélange frais et ce duo sucré/salé était un véritable délice.

Côté ambiance c’est tout chaud ou tout froid.Lors de mon premier passage, je suis tombée sur une australienne fière de nous montrer comment on dégustait ces petits sandwichs dans son pays. Un contact très amical que je n’ai pas retrouver lors de ma seconde visite.
Si j’ai très bien manger, je n’ai pas trouver ce que j’aime tant lorsque j’explore un nouveau restaurant, la convivialité et l’ouverture à l’autre. Peut-être que je suis tombée au mauvais moment, après tout on a tous nos jours avec et sans.

Ten Belles
10 rue la Grange aux belles 75010 Paris
Metro 5 : Jacques Bonsergent
Du lundi au vendredi de 8h à 17h
le week-end de 9h à 18h

L’article ON THE ROAD #14 : TEN BELLES est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

GRANOLA BARS MAISON

Marlène — Wed, 01 Nov 2017 19:11:56 +0000

Hello vous,

Nous sommes déjà au mois de novembre et entre le changement d’heure et la nuit qui tombe un peu après 18 h ; je me dis qu’une petite recette simple et rapide ne pouvait que faire du bien.

Aujourd’hui, on prépare des granola bars, pour faire le plein d’énergie. Au petit déjeuner ou après une séance de sport ou tout simplement lorsque l’on a un petit creux, on se fait plaisir avec ces petites barres.

De mon côté, j’en mange une tous les matins après ma séance de yoga pour démarrer la journée du bon pied.

La recette de base contient des fruits secs pour faire le plein d’énergie, des céréales pour le côté super-aliments et du beurre de cacahuète pour le bon gras et les fibres. Vous pouvez vous faire plaisir en variant les d’ingrédients selon vos envies. En remplaçant le sirop d’agave par du sirop d’érable, les raisins secs par des dattes et je ne vous parle même pas des différentes recettes de granola.

Vous allez voir les granola bars, c’est ultra simple à préparer, sans cuisson et délicieusement bon.

Pour 8 Granola bars :

– 250 g de granola (ou de muesli pour plus de légèreté)
-100 g de flocons d’avoine
-50g de raisin sec
-1 bonne cas de beurre de cacahuète
-100 ml de sirop d’agave
-1 cac d’essence de vanille

Mélangez tous les ingrédients dans un récipient. Pour la tenue des barres, il est important que le sirop d’agave et le beurre de cacahuète soient bien répartis sur l’ensemble de la préparation. Ils vont servir de liant à vos barres.

Tapissez un plat rectangulaire d’ une feuille de papier sulfurisé. Versez le tout dans le plat en tassant au maximum à l’aide du dos d’une cuillère ou a même les mains pour rendre l’ensemble le plus compact possible.

Mettez votre plat au réfrigérateur au moins 4 h. Je prépare souvent mes granola bars le soir avant d’aller me coucher pour en avoir le lendemain matin.

Découpez franchement vos granola bars à l’aide d’un couteau. Vous pouvez les conserver 1 semaine dans un récipient hermétique.

Je vous souhaite un beau mois de novembre pleins de projets, de moments cocooning et de good mood.
A très vite,

XoXo
Marlène

L’article GRANOLA BARS MAISON est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

ON THE ROAD #13 : SAAM

Marlène — Wed, 25 Oct 2017 08:00:00 +0000

Chaque semaine avec ma partner in crime nous crapahutons dans le tout Paris pour découvrir des pépites culinaires. Comme je chéris ces moments complices merci Violette. Aujourd’hui, je vous emmène chez Saam, une cantine coréenne hyper cool, mais surtout où tout est tellement bon que vous allez vous empressez d’aller y manger.

Je commence par la déco de ce spot hautement instagrammable situé à quelques minutes du canal Saint-Martin. On y fait le plein de couleur entre les murs pastel, les chaises en formica à motif et toutes ces plantes suspendu aux murs grâce avec des macramés.

Chez Saam on a les yeux qui brillent quand les assiettes arrivent, mais surtout
on y mange bien. Les burgers sont réalisés avec une brioche faite maison et cuits à la vapeur que l’on appelle baos. Ces buns sont agrémentés de poulet frit, de porc de boeuf ou végétarien avec des crudités marinées dans une sauce savoureuse. Le tout servi avec une salade ou des frites maison à faire tomber . Il y en a pour tous les goûts. N’hésitez pas à goûter une de leurs boissons artisanales, un thé vert avec des fruits de saison ou une bière coréenne.

Saam est un vrai coup de coeur, on y est accueilli avec le sourire et on repart en se léchant les doigts.

SAAM
sur place ou a emporter
59 bis rue de Lancry, 75010 Paris.
du lundi au vendredi
de 12h à 15h/de 19h à 22h30

EnregistrerEnregistrer

L’article ON THE ROAD #13 : SAAM est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

BANANA BREAD IRRESISTIBLE

Marlène — Mon, 23 Oct 2017 07:55:00 +0000

Hello vous,
voilà des mois que je n’étais pas venue par ici, alors j’espère vraiment que vous allez bien. Des semaines que j’ai envie de vous écrire, mais je dois avouer que j’étais pleine de réticence, notamment parce que depuis mon dernier article j’ai énormément changé, évolué. Mais cela, vous le verrez bientôt ! Alors quoi de mieux qu’une petite douceur pour renouer ensemble.
Aujourd’hui, je vous partage avec vous, la recette d’un banana Bread succulent.
À la maison, on est fou et je vous assure que je pèse mes mots. J’en fais un chaque semaine pour le goûter des enfants et je n’hésite pas à servir une part au facteur, à la femme de ménage et à mes voisins. Vous aurez compris, ce banana bread est ma recette fétiche à faire et à refaire sans modération.

Pour réaliser ce Banana Bread /8 parts

250 g de farine
150 g de sucre brun
1 sachet de levure
1 demi café de bicarbonate
3 bananes mures
1 cas ras de poudre d’amande (option)
85 g de beurre
2 œufs
30 g de lait
1 pincée de sel

Préchauffer votre four à 160 °.
Dans un bol, versez la moitié de la farine ainsi que l’intégralité de la levure, du bicarbonate et la pincée de sel.
Écrasez 2 des bananes à l’aide d’une fourchette et incorporez-les aux éléments secs. Ajoutez le beurre coupé en cube, le lait et mélangez.
Enfin, ajoutez l’autre moitié de la farine et les œufs.
Mélangez énergiquement à l’aide d’un fouet jusqu’à obtenir une pâte homogène.
Dans un moule à cake, tapissez le fond avec une feuille de papier sulfurisé et versez la pâte. Pour finir, découpez la dernière banane en deux dans le sens de la longueur. Placez-les deux morceaux sur le dessus et enfournez.
Laissez cuire environ 50mn à 1h à 160 °.

Tadammm, cette tuerie de banana bread est fin prête à être dégustée. Pour les plus gourmands, vous pouvez rajoutez un glaçage au fromage blanc ou comme j’adore faire, une compote de pommes maison.
Je vous souhaite une excellente semaine et je vous envoie plein de bonnes ondes.
A très vite,
Marlène

L’article BANANA BREAD IRRESISTIBLE est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

WE LOVE GREEN 2017

Marlène — Thu, 15 Jun 2017 12:31:01 +0000

Ce week-end nous étions à la We Love Green avec Violette. Nous avions hâte de nous retrouver pour partager un bon moment musical sous le soleil et surtout de voir Solange sur scène. Je ne vais pas tourner autour du pot, ce festival m’a laissé une très mauvaise impression.
Après des dizaines de festivals, j’ai vu et vécu beaucoup de choses, mais jamais une telle négligence.
Un véritable choc après les retours positifs de l’édition de l’année précédente, malgré la météo peu clémente.

Les ateliers de couronnes de fleurs, les fruits de saison à profusion, la diversité des stands bio et healthy ainsi que les Think tanks (sorte de conférences) qui sensibilisent à l’univers « green ». Tout était mis en place pour passer un chouette week-end. C’était sans compter le manque de savoir-vivre de certains qui dessinait une grosse ombre au tableau.

En arrivant sur le site après plusieurs heures de queue dans la foule pour accéder au festival (plan vigipirate oblige); nous étions en plein cagnard, sans refuge ombré ni eau. Plusieurs festivaliers sont tombés comme des mouches sans qu’aucune aide immédiate ne leur soit apportée. J’ai trouvé cela fou!!!

Aucun réseau sur l’ensemble du site, un service d’information qui laisse à désiré sans oublier un retour par les bois dans le noir total. Bref, je ne vais pas plomber We Love Green, mais il est certain qu’il ne sera pas MON festival de l’année.

Good mood tout de même; il y avait aussi plein de choses cool. Je commence par cette ambiance mi-hippie chic mi-bobo qui donnait à voir des festivaliers contents de célébrer la vie. En ces temps quelque peu chaotiques que vit le monde cela fait un bien fou, de voir des gens rire, danser, chanter et s’aimer. Un vrai bol de positivité et c’est bien le plus important.

Quant à moi, j’ai bu ma consommation de bière mensuelle en 2 jours en blanche, blonde et brune, manger des burgers fabuleux notamment le « burger de l’amour » chez Le Réfectoire et « le confit »chez canard street .
Je vous ai dit que ce que j’aime le plus dans un festival c’est manger? Bon, il y a la musique aussi.
Je salue tout de même le décor simple réalisé à partir de matériaux recyclés.

Je vous souhaite une belle journée ensoleillée.

Pleins de bisous
Marlène

EnregistrerEnregistrer

L’article WE LOVE GREEN 2017 est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

IN THE HAIR // LA GAMME GARNIER ULTRA DOUX

Marlène — Fri, 09 Jun 2017 05:00:00 +0000

Bon vendredi,
la semaine passe à une vitesse folle, mais je suis trop contente de publier a nouveau par ici. Aujourd’hui, on parle de routine capillaire avec la gamme Ultra Doux de chez Garnier. C’est loin d’être un sujet facile à aborder, car je suis une véritable flemmarde dans ce domaine. Sérieusement, le simple fait de devoir me sécher les cheveux est un supplice à lui seul. Comment vous dire qu’un jour sur deux je donnerais tout pour avoir le crâne rasé.

Petite déjà, ma mère me lavait les cheveux avec du shampoing DOP, vous savez celui qui ne pique pas les yeux et évite les nœuds. Quand je suis devenue indépendante (à comprendre : quand j’ai dû m’acheter mes propres produits d’hygiène), j’ai naturellement continué sur ma lancée Dopienne. Et puis, pour mes 30 ans, je suis allé pour la première fois de ma vie chez un vrai coiffeur (oui, ça craint un peu, mais en fait on s’en fout royal et puis cela m’allait très bien jusque là) qui m’a coûté un bras.

Au fond de moi, je savais bien que mon histoire d’amour avec le shampoing de mon enfance se terminait là. Je faisais tout, sauf prendre soin de ma tignasse que je ménageais à peine entre deux défrisages. Après quelques recherches sur les internets, je suis tombé sur la gamme Ultra Doux de Garnier et je ne suis pas prête d’abandonner cette nouvelle routine soin.

Le shampooing

Je commence avec le shampoing ultra doux à l’huile d’avocat et au beurre de Karité :

une douceur incomparable, ce shampoing a des faux airs de crème qui est très agréable. Une texture légère dans un format qui n’encombre pas la douche. Je l’utilise une fois par semaine.

L’après-shampooing

Après quoi ? (la fille débarque… Ahem). Une grande première pour moi. Toujours cette texture hyper agréable pleine de douceur. Comme son nom l’indique, c’est la seconde étape, il suffit de se masser le cheveu quelques minutes et de rincer à l’eau claire. Grâce à lui, mes cheveux sont doux et se démêlent très facilement.

Le masque

Avec son gros pot et son contenu onctueux, ce masque s’applique très facilement sur l’ensemble des cheveux. Le masque va nourrir en profondeur la fibre capillaire. Je l’utilise tous les 15 jours en laissant agir le temps d’une bonne série.

La crème de soin

Voilà mon chouchou de la gamme. J’utilise cette crème quotidiennement sur cheveux secs ou humides selon mes envies. Ce que je préfère c’est qu’après l’application d’une bonne noisette, mes cheveux ne sont pas du tout gras. Il nourrit le cuir chevelu ainsi que les cheveux des racines aux pointes. Je ne la quitte plus et je l’emmène vraiment partout.

Cela fait maintenant quatre mois que j’utilise la gamme Garnier Ultra Doux et je suis carrément fan. Efficace notamment grâce à l’avocat et le beurre de karaté qui nourrissent et hydratent.

Retrouvez la gamme complète sur le site Garnier ou dans votre supermarché le tout à petit prix.

Des bises

Marlène

L’article IN THE HAIR // LA GAMME GARNIER ULTRA DOUX est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

AVOCADO TOAST À L’ITALIENNE

Marlène — Tue, 06 Jun 2017 05:49:07 +0000

Salut les gars,
J’espère que vous allez bien et que vos batteries sont rechargées pour cette nouvelle semaine qui commence. Il y a quelques mois, je vous avais parlé de lancer une série de recettes autour du toast à l’avocat histoire de voyager un peu dans l’assiette (retrouvez l’article sur l’avocado toast nordique ici) . La recette healthy de la semaine aura des allures ritales avec ses tomates mozza. Des incontournables de la cuisine italienne.

Alors si vous suivez le blog, vous savez à quel point j’aime les recettes ultras simples et gourmandes. Et c’est bien le cas avec ses avocado toast à l’italienne. D’ailleurs, la seule difficulté est de faire tenir tous les ingrédients sur une tartine, mais je suis certaine que vous allez vous en sortir.

Sans plus tarder voici la recette de l’avocado toast à l’talienne.

– 2 tranches de pain complet aux céréales
– 1 demi — avocat
– Du fromage frais type St-Moret ou Philadelphia
– des tomates cerises de plusieurs variétés
– des billes de mozzarella
– du basilic finement haché
– des graines de sésame noir
– du vinaigre balsamique

Commencez par étaler le fromage frais sur vos tartines légèrement toastées. Coupez votre avocat en deux puis faites-en de fines tranches, dans le sens de la longueur. Disposez-les sur vos tartines ainsi que les tomates. Versez un filet de vinaigre balsamique. Enfin, saupoudrez de basilic, de graine de sésame, de sel et de poivre.

Le tour est joué, vous n’avez plus qu’à déguster. Si vous êtes affamé, vous pouvez manger les deux tartines. Mais c’est tellement meilleur lorsque l’on partage et dans ce cas rien de mieux qu’une bonne salade verte pour accompagner cet avocado toast à l’italienne.

Je vous embrasse et vous dis à très vite pour un article festif.
Marlène

L’article AVOCADO TOAST À L’ITALIENNE est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

ANECDOTES RIGOLOTES D’UNE FEMME TATOUÉE

Marlène — Mon, 05 Jun 2017 13:36:10 +0000

Chaque été, c’est la même rengaine. Il fait chaud, je porte donc des T-shirts et j’ai droit à plein de remarques sur mon tatouage. Plus ou moins déplacées, plus ou moins drôles, ces anecdotes sont le thème du jour. Maintenant, j’y suis habituée et cela ne me fait plus rien, mais a une période c’était tout simplement insupportable.

1 – GROUPIE

J’ai été une jeune fille assez modèle. Mes parents n’ont jamais été convoqués à l’école ou au commissariat pour un problème de comportement. Je n’ai jamais volé, hormis la Game Boy de ma copine Laura à 9 ans, mais c’était plus un emprunt de longue durée qu’autre chose. Enfin, je n’ai jamais su mentir. Modèle j’ai dit, pas parfaite.
Si vous demandez à mes parents, les cloches sonneront certainement de manière différentes, mais au fond j’étais une bonne gamine. Tout cela pour dire que chaque année lorsque je rentrais avec un nouveau tatouage, mes parents rouspétaient de leur plus beau créole, puis avec le temps les cris se sont transformés en hochement de tête déconcerté et désapprobateur. Jusqu’à ce que Matt Pokora tatoué jusqu’au bout des doigts, danse un jive endiablé dans la célèbre émission de danse. Alors là, le regard de mes parents a littéralement changé a mon égard. Peut-être que je ne fume pas du crack sous les ponts avec mes amis tatoué finalement.

2 – Quand t’en a marre, y’a malabar!

Il y a 12 ans, quand j’ai fait ma première grosse pièce avant que le tatouage se démocratise un peu, une petite fille m’a demandé si elle pouvait colorier mes dessins, car les tatouages de ses malabars étaient déjà en couleur.

3 – Bonjour quand même.

Alors que j’écoutais tranquillement de la musique dans le métro; une femme a abaissé mon t-shirt dévoilant ma poitrine à toute la rame. Elle voulait voir l’intégralité de mon tatouage.

4 – Carte aux trésors

Mon cœur anatomique sur le chest est sans doute celui qui suscite le plus de commentaires.
« C’est moi, vous m’avez trouvé ! » « C’est une carte aux trésors vers le chemin de votre cœur ! » et ma préférée « Vous êtes allez voir du côté des objets perdus ».

5 – Question pour un champion

Si beaucoup ne passe pas le cap de l’aiguille, cela n’enlève rien la curiosité. Alors souvent, lorsque je dîne dehors ou que je bois un verre en terrasse, on m’interpelle ou m’interroge. Peu importe que je sois en train d’engloutir mon burger, de siroter mon mojito ou de discuter avec quelqu’un.
Alors une fois pour toutes je réponds
Ça fait mal ? Pas plus qu’une épilation à la cire
Ça coûte cher ? Tout dépend de la taille, de l’artiste et du pays où vous le faite.
Ça signifie quoi (je la déteste celle-là) je veux bien tout te raconter, mais tu veux peut-être connaître mon prénom avant ?

6 – Bodyguard

Lorsque je bossais dans un shop tattoo et que l’on allait déjeuner en « bande » impossible d’entrer dans un supermarché sans avoir un garde du corps attitré (comprendre un vigile).

7 – Picasso en herbe

Quand mon fils Noah avait 6 ans, il m’a dit « maman quand je serais grand, je serais dessinateur sur peau. Dis-moi ce que tu veux que je m’entraîne, je ne veux pas faire de ratures ».

8- Do you speak english

On me prend souvent pour une Anglaise ou une Américaine. Allez savoir pourquoi ?!? Du coup on me parle en anglais. Lorsque je réponds en français et que je demande le pourquoi de cette confusion: “ah vous en avez l’air, vous savez avec vos tatouages et tout”…

9 – Allodocteur

Je suis phobique des aiguilles que je vois. Vraiment avant qu’une infirmière m’enfonce une seringue dans le bras je fais trois fois le tour de la pièce, je fais des exercices de respiration avec elle où je ne fais qu’inspirer et expirer nerveusement. Enfin, je fais 3 ou 4 décomptes avant de hurler : “attendez, je ne suis pas prête”. Et au bout de 10 min de cinéma, elle me dit agacée : “Mais vous avez plein de tatouages, ça fait vraiment moins mal”.

10 – Pourcentage

Autre remarque que l’on me dit souvent : « Wouah tu as beaucoup de tatouages, tu n’as bientôt plus de place ? En fait, cela représente à peine 20 % de la surface totale de ma peau.
J’ai plus de zones vierges que de zones tatouées.

Voilà, pour ces petites anecdotes tatouées, n’hésitez pas à partager les vôtres.
Je vous souhaite une belle journée et à très vite.

XoXo
Marlène

L’article ANECDOTES RIGOLOTES D’UNE FEMME TATOUÉE est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

COMMENCER LA PHOTOGRAPHIE

Marlène — Fri, 02 Jun 2017 05:00:00 +0000

Cela fait un bout de temps que j’avais envie de vous parler de photographie. Passion qui prend de plus en plus de place dans ma vie d’autant plus, qu’elle fait maintenant partie intégrante de mon boulot et de mon quotidien. Quand je vois d’où je suis partie, j’aime penser que toute personne souhaitant se mettre à la photographie avec un minimum de sérieux et de motivation est capable de faire de jolis clichés. Voici donc une nouvelle série d’articles bimensuelle autour de la photographie, aussi bien d’un point de vue créatif, technique ou historique.

1- Pourquoi ?

Je crois que la première fois que j’ai vu un polaroid, j’ai été fasciné par le mode d’impression. À l’époque, il fallait remuer le pola pour faire apparaître la photo. J’assimilais la photo au plaisir ou du moins aux moments joyeux. Et même si cela ne m’a pas touché de manière flagrante avant ces deux dernières années, j’ai toujours été amoureuse des belles images et admirative de ceux qui étaient capables de les faire.

La photographie comme beaucoup de passion, demande du temps, de la patience et beaucoup de pratique. Demandez-vous pourquoi vous voulez vous y mettre et définissez un rythme ou une plage de temps consacré a cela. Quitte à l’inscrire dans votre agenda. Qu’il s’agisse d’une demi-heure ou d’une demi-journée par semaine tout est bon à prendre. Ayez simplement une idée en tête de ce que cela va vous coûter en temps.

2 – S’inspirer

Les belles images, on en voit tous les jours, sur les réseaux sociaux, sur les murs des métros et parfois vous en imaginez certaines. Alors vous sortez vos téléphones, et vous immortalisez l’instant. La photo se perd dans votre bibliothèque numérique ou mentale jusqu’à ce que votre mémoire vive soit surchargée et que vous l’effaciez pour gagner un peu de place.

Mon déclic photo, je l’ai eu avec Henri Cartier Bresson et ses photos en noir et blanc, ses cadrages parfaits et son regard sur la société. Pour moi, la photographie qui m’intéressait était le photoreportage. Et je me sentais incapable de prendre des clichés dignes de ce nom. Et puis avec l’arrivée des blogs en tout genre ; la course aux belles images a pris le pas sur l’histoire des instants figés. Je passais des heures à surfer sur les internets. Je suis alors tombé sur des photographies de vie comme on peut voir, chez Lyloutte, Celine Marks ou encore d’Anneeeck qui me procuraient des émotions particulières et qui m’apaisaient. Et là, le déclic. J’avais enfin trouvé, ce que je voulais exactement faire. Donner l’envie d’aller découvrir un lieu, de tester une recette, de sublimer le quotidien, et d’inspirer sans prétention aucune. C’est tout cela que j’avais envie de faire. Photographier des choses ordinaires et communes, essayer de les sublimer avec des fleurs et des couleurs.

Demandez-vous, quel a été votre déclic? Si vous savez pourquoi vous avez commencé, vous ne risquez pas d’abandonner. Identifiez quels types de photos vous voulez faire, ce qui vous plaît, ce qui vous touche. Cela vous permettra de savoir de quelle façon vous y prendre.

Sélectionnez 10 images et notez ce qui vous plaît et/ou déplaît, ce que vous ressentez en les regardant. Le cadrage, la mise en scène, la lumière, les couleurs…

3 – Quel matériel

La question du matériel est un vrai casse-tête pour qui veut s’équiper. Il y a tellement d’offres, de marques et de fonctionnalités que l’on ne sait pas par où commencer. Nous reviendrons sur le matériel de base dans un article dédié. Mais si vous débutez les mains vides, sachez que votre smartphone deviendra votre meilleur ami. Si vous avez déjà un appareil, c’est cool ! Vous allez pouvoir vous amuser avec.

Avant d’acheter du matériel, travaillez avec ce que vous avez sous la main. Pendant une dizaine de jours, prenez le plus de photo possible. Vous vous apercevrez qu’il y a un ou deux thèmes qui reviennent fréquemment. À partir de là, il sera plus facile de déterminer quel type d’appareil, de focales et de lumières vous avez besoin ?

4 – S’engager

Pour évoluer en photographie, je pense que l’on a besoin d’un projet qui deviendra une raison parfaite pour s’exercer. Une fois celui-ci trouvé, partager ses photos et demander l’avis d’un certain public va vous aider à progresser. Je suis entourée de professionnels de l’image, je n’hésite pas à leur demander leur avis. Cela permet de prendre du recul, d’identifier ses erreurs et de progresser rapidement grâce à des conseils avisés.

Allez fouiner un peu sur les internet à la recherche de communautés photographiques où vous serez les bienvenues. Intégrez une communauté sur une plateforme dédiée à l’image tel que, Pinteret, Instagram ou encore Flickr et partagez votre travail.

C’est sans doute le plus grand pas à faire dans cet article, mais je vous assure qu’en gardant votre travail secret vous n’évoluera pas.

C’est tout pour aujourd’hui, j’espère que ce nouveau thème vous plaît.

Téléchargez le guide PDF qui vous permettra de travailler ce que nous avons vu dans ce post. Le prochain article photo portera sur le matériel de base pour bien débuter.

N’hésitez pas à partager vos avis, à poser vos questions et à venir compléter l’article.

Bonne journée,

Marlène

EnregistrerEnregistrer

L’article COMMENCER LA PHOTOGRAPHIE est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.

FESTIVAL WE LOV EAST

Marlène — Wed, 31 May 2017 06:00:00 +0000

Salut les gars,
Le soleil est bel et bien au rendez-vous et cela signe le début des festivals. J’ai hâte d’aller shooter ces atmosphères joyeuses et de crier « Rock’n’roll » par-dessus les foules. D’ailleurs, j’ai en réserve plusieurs articles sur des évènements musicaux et/ou artistiques, que vous retrouverez très vite par ici. En attentant, je voulais vous parler de We Lov East ; un festival artisanal super cool qui a eu lieu les 21, 22 et 23 avril dernier. We Lov East met en avant les créateurs et l’artisanat de l’Est parisien.

Pour la petite histoire, je lisais l’article d’Anne-Sophie (alias inside closet, mais si vous savez !!! C’est la nana super douée qui va prendre en photos d’autres nanas super douées, dans leurs home sweet home super cool). Bref, je lisais donc une interview d’Alexandra, maman créative, décoratrice événementiel et co-fondatrice du festival en question WE LOV’EAST qu’elle décrit comme un « Brooklyn parisien ». OK il ne m’en fallait pas plus, j’ai pris mon chéri et le chien et on était parti.

C’est dans une ancienne fonderie de fer rue Jules Auffret à Pantin qu’avait lieu ce festival friendly. Cela ressemblait à une immense fête des voisins populaires où tout le monde était le bienvenu. J’ai adoré l’ambiance « berlinoise » avec les briques, le côté industriel avec ses grandes baies vitrées, la décoration du lieu, les foods trucks et les cerisiers en fleur c’était tout simplement parfait et dans un esprit familial et bons enfants.

En parlant enfants, ils pouvaient jouer à une ribambelle de jeux en bois et ludique. Je dis les enfants, mais je me suis beaucoup amusé à tous les tester. À midi, nous nous sommes régalés de jus d’orange fraîchement pressé à la demande, de burgers anti-bikini accompagnés de leurs frites maison et de muffins au cœur fondant. C’était à la fois délicieux et copieux. D’ailleurs, j’ai pris un malin plaisir à taquiner les gars de Jh & Co.

Nous avons pu flâner de stand en stand et découvrir une sélection déco, de bijoux, de céramique, de papeterie… Mais surtout, j’ai rencontré des talents et des entrepreneurs avec une réelle envie de partage.

Il y avait plusieurs ateliers DIY pour les petits et les grands autour des fleurs, de la broderie ou encore des formes géométriques. En parlant de géométrie, focus sur Trio, un livre jeunesse écrit par les copains qui explique que « personne dans la vie ne choisit sa couleur l’important c’est d’écouter son cœur ». Bon c’est mon interprétation personnelle, mais l’idée est là. Comprendre dès le plus jeune âge que nous sommes tous différents, mais complémentaires.

We lov’east, signe une première édition réussie et j’ai hâte de découvrir la prochaine. Qu’il nous fasse penser à Brooklyn ou à Berlin, c’est un festival good mood/good vibes qui met en avant la scène artisanale du grand Paris. Un évènement qui montre la banlieue créative et novatrice très loin des clichés.

Un énorme merci à Alexandra avec son sourire généreux et son accueil, ainsi qu’a tous les acteurs qui ont pri le temps de répondre a toutes mes questions.

❤️ Mes coups de cœur ❤️

Les éditions Dyozol : avec les livre jeunesse

Renée Recycle : Des objets chinés et revisités

Jh & Co : Food truck de la mort qui tue

Melstrom : Bougies aux senteurs inspirées

Monochromatiques : Bijoux en porcelaine aux lignes épurées

Les jumeaux fleuristes : euh… tout est dit dans le nom…

L’article FESTIVAL WE LOV EAST est apparu en premier sur LES PETITES CHOSES ORDINAIRES.